Les salariés qui étaient arrêtés pour garder leurs enfants mineurs ou parce qu’ils cohabitent avec une personne vulnérable au Covid-19 sont désormais placés en chômage partiel.
S’il s’estime exposé à un danger « grave et imminent », un salarié peut décider de quitter son poste, sans en demander l’autorisation à son employeur. Un droit à utiliser avec précaution.
Selon l’article L. 4121-1 du Code du travail, l’employeur doit prendre les mesures nécessaires pour garantir la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses salariés.
Message de Didier Weckner – Directeur Général Délégué d’AXA France, en charge de l’activité AXA Santé & Collectives
Les drames ne se limitent pas à la sphère privée. Le monde professionnel peut, lui-aussi, être secoué par des catastrophes. En cas de crise majeure, si l’entreprise ne réagit pas ou réagit de façon inappropriée, l’événement peut avoir des impacts importants sur ses salariés et sur son activité.
Promulguée le 27 décembre 2019 au Journal Officiel, la loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2020 prévoit une série de mesures en vue d’améliorer la vie des malades.
Afin de limiter son exposition financière, un assureur peut décider de céder tout ou partie d’un risque à un réassureur. Il peut aussi lui faire appel pour bénéficier d’une expertise spécifique.
Avec la Loi Pacte, les salariés bénéficieront d’un dispositif d’épargne retraite qu’ils vont pouvoir continuer à alimenter même s’ils quittent leur entreprise.
Les français s’intéressent de plus en plus à ce qu’il faut faire pour rester en bonne santé notamment au niveau de la nutrition.
AXA lance le label « Epargne citoyenne », garantissant la prise en compte des enjeux sociétaux et environnementaux dans plusieurs de nos produits d’épargne.